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Au casino de Monte-Carlo, une veuve anglaise prend sous son aile un jeune homme perdu par la fièvre du jeu. Assumant le rôle de mère et d'amante, elle tente tout pour l'aider. Elle-même ne se reconnaît plus : va-t-elle abandonner sa vie bourgeoise et s'enfuir avec lui ? Le sauver implique de se perdre. Voici le récit des vingt-quatre heures qui changent une vie. Dans cette sombre nouvelle, parue en 1925, qui a beaucoup frappé Freud, Zweig se montre au sommet de son art de psychologue, dans l'analyse du coup de foudre amoureux et de l'addiction au jeu, ainsi que d'une passion plus complexe qui menace l'héroïne : la pitié dangereuse, ce mélange de sensualité et de devoir. L'auteur décrit admirablement le conflit intérieur qui se joue en chaque individu quand son existence se change en destin.

Quelle déception. Je me suis excusée à mes amies du club de lecture de leur avoir imposé un roman aussi plate. Par chance il avait moins de cent pages. Pourtant, j'avais adoré le joueur d'échecs qui était stressant et intriguant et innovant ... La quatrième de couverture de celui-ci laissait présager quelque chose d'interdit, d'enlevant, d'excitant. Loin de là. Tout était prévisible et ennuyant. Dans la première partie, nous avions affaire a un narrateur différent et l'écriture était rythmée, les mots était pleins de peps, c'était imagé, plein de métaphores drôles. La deuxième partie est complètement tombée a plat. Bref, ne perdez pas votre temps avec cette nouvelle. Mais lisez le joueur d'échecs ! 

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