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C’est une histoire de trou dans le cÅ“ur, un trou de la grosseur d’un dix cents et qui fera mourir Vautour à vingt-sept ans. C’est une ode de l’écrivain-narrateur Mistral à son ami disparu. C’est une tentative pour redonner la vie à ce Vautour qui plane maintenant au-dessus de nos têtes. Mais ce roman parle surtout de l’Amérique, de celle qui se raconte bien des histoires mais qui n’y croit pas toujours. 

Je n'avais aucune attente. Je ne connaissais pas l'auteur. La quatrième de couverture ne disait rien. Mais c'était vraiment bon. Les personnages étaient tellement attachants. Mais quels losers! Mais des losers qu'on ne peut pas détester. L'écriture est belle, c'est fluide. L'histoire est triste. C'est vraiment très touchant. Surtout qu'on sait pratiquement dès le début ce qui va arriver alors on s'attache encore plus aux personnages. Et on se sent avec eux, chez eux, dans leurs affaires. Et on souffre avec eux. Bref, j'ai eu une agréable surprise en tombant sur ce petit roman. A lire, mais quand on va bien, car c'est déprimant! 

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