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Le viaduc Rosemont-Van Horne est fermé à la circulation routière. On sait qu’un convoi de fret du Canadien Pacifique s’est arrêté sur la voie. On murmure que cela aurait un lien avec la romancière Mia Clark, habituée des lieux et autrice du récent phénomène littéraire Un grondement féroce. On apprendra bientôt que les autorités prennent cela très au sérieux, car Mia Clark reste introuvable.
Cependant que l’on tente de comprendre ce qui s’est passé, William Van Horne, futur directeur général du Canadien Pacifique, se fait renvoyer de l’école. Nous sommes en 1856, il a alors treize ans. Avec lui démarre le texte d’Un grondement féroce et l’enquête menée par une proche amie de Mia.

Je trouvais intéressante l'intrication d'un viaduc, d'une fille contemporaine et d'un homme mort depuis longtemps. Je voulais connaître le lien. J'étais intriguée. Ça s'est arrêté la. Tabarouette que c'était plate. Pour le côté de la fille contemporaine, rapidement, on a comprit l'intrigue. Donc aucune surprise. Le lien entre la fille et le viaduc, c'est qu'elle a disparu en dessous. Bon ok ... Et William Van Horne dans tout ça ? Eh bien, le viaduc porte son nom et l'autrice avait envie de nous raconter son histoire. Pourquoi ? Aucune idée. De mon point de vue, ce n'était pas tellement passionnant. Oui, il en a fait des choses, mais si j'avais eu envie de les connaître, j'aurais lu sa biographie. Et ça ne servait pas l'histoire. En fait, c'était peut-être ça l'histoire. Elle nous parle de William Van Horne au « tu », comme si elle lui parlait. Et en fait, c'est plate a mourir d'ennuie et ça ne mène nul part. Je n'ai pas compris le but de ce roman. Je me demande encore pourquoi. Elle nous raconte peut-être un peu sa vie via la romancière disparue ? Je ne sais pas ... Par contre, sa plume est agréable, vive. 

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