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'- Vous savez, on peut mêler l'histoire de la criminalité à celle de la peinture. Au début, on peignait comme on tue, à main tue. L'art brut, on pourrait dire... L'instinct avant la technique. Ensuite est intervenu l'outil, le bâton, le pinceau. Un beau jour, on s'est mis à peindre au couteau. Regardez le travail d'un Jack l'Éventreur... Et puis on a inventé le pistolet. Peindre au pistolet apportait quelque chose de définitif et radical. Et maintenant, à l'ère terroriste, on peint à la bombe, dans la ville, dans le métro. Le graffiti anonyme qui saute au coin de la rue...'

Je ne sais pas quoi en penser. Je suis déçue par rapport à l'autre roman de cet auteur que j'ai lu il y a quelques mois et qui était vraiment wow! Ce roman-ci était bien, mais pas aussi fantastique que SAGA. Il y avait une intrigue et de l'action. Le personnage principal était plutôt beige et c'était voulu, mais ça le rendait antipathique. Il était amorphe et en même temps, dans l'action. J'ai quand même aimé ce roman en y repensant bien. Il ne faut juste pas que je le compare a SAGA. J'ai un autre roman de cet auteur sur mes tablettes. Je vais essayer de le lire bientôt pour me faire une meilleure idée de son style. Peut-être est-il comme Ken Follett ... J'ai lu 3 romans de Follett et aucun n'avait le même style. Peut-être que Benacquista est comme ça. A suivre. Mais si vous n'avez pas lu SAGA, vous allez apprécier ce petit roman. 

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