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Véritable phénomène d’édition aux États-Unis, salué par l’ensemble de la presse comme le meilleur roman de l’année, le livre d’Anthony Doerr possède la puissance et le souffle des chefs-d’œuvre. Magnifiquement écrit, captivant de bout en bout, il nous entraîne, du Paris de l’Occupation à l’effervescence de la Libération, dans le sillage de deux héros dont la guerre va bouleverser l’existence : Marie-Laure, une jeune aveugle, réfugiée avec son père à Saint-Malo, et Werner, un orphelin, véritable génie des transmissions électromagnétiques, dont les talents sont exploités par la Wehrmacht pour briser la Résistance.
En entrecroisant avec une maîtrise éblouissante le destin de ces deux personnages, ennemis malgré eux, dans le décor crépusculaire d’une ville pilonnée par les bombes, Anthony Doerr dessine une fresque d’une beauté envoûtante. Bien plus qu’un roman sur la guerre, Toute la lumière que nous ne pouvons voir est une réflexion profonde sur le destin et la condition humaine. La preuve que même les heures les plus sombres ne pourront parvenir à détruire la beauté du monde.

Wow ! On comprend rapidement pourquoi ce livre a gagné un Pulitzer. L'histoire est excellente, mais par dessus tout, ce sont les personnages qui sont magnifiques. Ils sont beaux dans tous les sens du terme. Ils sont forts, ils sont vulnérables, ils souffrent ... Il n'y a pas de bons ni de méchants. Il n'y a qu'eux. Il n'y a que Marie-Laure, son papa, madame Manec et Etienne. Il n'y a que Werner Volhkeimer et Jutta. Ils ne sont pas français ni allemands. Ils sont seulement des gens qui souffrent. Et il y a Frederick. Et toute cette tragédie. C'est d'une tristesse, mais aussi, c'est beau, lumineux et plein d'espoir. C'est plein de sons, d'odeurs et de sensations. C'est remplis d'horreur et de beauté. A lire! Absolument!

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