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Dans l'Angleterre du XIIe siècle ravagée par la guerre et la famine, des êtres luttent pour s'assurer le pouvoir, la gloire, la sainteté, l'amour, ou simplement de quoi survivre.
Les batailles sont féroces, les hasards prodigieux, la nature cruelle.
La haine règne, mais l'amour aussi, malmené constamment, blessé parfois, mais vainqueur enfin quand un Dieu, à la vérité souvent trop distrait, consent à se laisser toucher par la foi des hommes.

Que dire ? Toutes les personnes a qui je parlais de ce roman et qui l'avaient lu avaient adoré. Un ''page turner'' qu'on m'avait dit. Bon ... pour moi ça a été un calvaire du début jusqu'à la fin. J'avais 28 jours pour le lire alors que j'aurais pris 3 mois. Au moins, ça a raccourci mon calvaire! Dès les premières pages, quand tu trouves que le personnage principal est égoiste et qu'il ne fait que prendre de mauvaises décisions, ça ne part pas bien. Bref, c'est un livre sur l'époque médiévale, sur la guerre de pouvoir entre le roi et les hommes d'église, entre les hommes qui veulent plus et ceux qui n'ont rien. Ce sont des personnages vils et cruels. Après une catastrophe que se passe t-il ? Une autre catastrophe! Une chance qu'il y avait Jack, Ellen et Martha! Quels beaux personnages! J'ai quand même bien aimé le prieur Philip. C'était un beau personnage complexe. J'ai toujours admiré la vie monastique, alors ça me reposait lorsqu'il était question des moines. J'ai lu en diagonale toutes les descriptions des parties de la cathédrale, car c'est a rendre fou. La nef, les tranceps. les clochetons, le triforium ...

Le roman ne connait pas une fin précipité. Toutes les portes qui avaient été ouvertes ont été refermées et on a eu droit a notre fin Walt Disney comme Ken Follett nous en a habitué. 

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