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Les Nuits blanches, c'est d'abord un vrai roman d'amour. Un jeune homme solitaire et romanesque rencontre, une nuit, dans Petersbourg désert, une jeune fille éplorée. Désespérée par un chagrin d'amour, Nastenka se laisse aller au fantasme du jeune homme, amoureux depuis le premier instant, le berce - et se berce - dans l'illusion d'une flamme naissante...

La nouvelle traduction d'André Markowicz tire de ce roman un parti stylistique étonnant. Discordante, ironique, la voix que l'on entend ici est bien celle du grand écrivain russe, qui n'a cessé sa vie durant de se battre, au nom de la vérité, contre l'élégance trompeuse, celle des mots et celle des sentiments.

J'ai aimé au début, car je crois que je m'attendais a quelque chose de vraiment soporifique ou de très compliqué a comprendre ou ... Je ne sais pas trop à quoi je m'attendais, mais je ne m'attendais pas a aimer ça. Donc, belle surprise, ce n'était pas si mal. Bon, ça fini par être redondant et par être prévisible, mais c'est quand même une bonne petite nouvelle. 

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