top of page
les délices de tokyo.jpg

"Écoutez la voix des haricots": tel est le secret de Tokue, une vieille dame aux doigts mystérieusement déformés, pour réussir le an, la pâte de haricots rouges qui accompagne les dorayaki, des pâtisseries japonaises. Sentarô, qui a accepté d'embaucher Tokue dans son échoppe, voit sa clientèle doubler du jour au lendemain, conquise par ses talents de pâtissière. Mais la vieille dame cache un secret moins avouable et disparaît comme elle était apparue, laissant Sentarô interpréter à sa façon la leçon qu'elle lui a fait partager.
Magnifiquement adapté à l'écran par la cinéaste Naomi Kawase, primée à Cannes, le roman de Durian Sukegawa est une ode à la cuisine et à la vie. Poignant, poétique, sensuel : un régal.

Ce roman était ma suggestion pour le club de lecture. J'adore la culture japonaise. J'aime leur art de vivre au ralenti, leur simplicité et leur vie souvent épurée. Ce roman reflète bien tout ça, mais ... Mais en fait, ce roman était plate. La quatrième de couverture était prometteuse. Mais c'était un peu trop lent et ça tournait un peu en rond. Le personnage principal n'était pas tellement attachant. La personnage, elle, l'était plus, mais on en a plus découvert vers la fin et c'est à ce moment que j'en aurais prit plus. C'était la première fois que je lisais un roman dont un personnage avait eu la lèpre. J'en ai apprit plus. J'ai aimé en apprendre plus et j'aurais aimé en lire plus sur le sujet. Cette partie du roman était intéressante. J'aurais aussi aimé en lire plus sur la pâtisserie japonaise en générale. Bref, je me suis un peu emmerdée et je suis restée sur ma faim. Tokue, la femme qui a souffert de la lèpre avait toujours de belles paroles philosophiques et j'adorais ça. Bref, ce roman a eu des hauts et des bas. J'ai regardé la bande annonce du film et il semble manquer beaucoup de partie importantes du livre et on dirait même que l'essence du roman n'y est pas. S'il passe un jour à la télévision, je le regarderai peut-être, par pure curiosité. 

bottom of page