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Meryl Maillet est un psychiatre qui, une fois installé confortablement à la maison, raconte à sa conjointe, tel un téléroman, tous ses entretiens avec ses patients. Jasmine, la parfumée, répète dans les moindres détails, sans en révéler la provenance, le contenu de ces rencontres à six apprenties écrivaines qui fréquentent son atelier d'écriture au sous-sol de la paroisse Saint-Pierre-du-Calvaire à tous les vendredis après-midi.

L'une elles publiera un roman témoignant de tous les aspects de la vie d'une patiente, connue du public. L'auteure raconte un sordide secret que Victoria Simonneau n'a confié qu'à son thérapeute. Nous voilà tombés entre les crocs d'un monstre ravageur.

Finement raconté par Francine Allard, qui a l'habitude de nous étonner de livre en livre, J'ai tué Freud et il m'en veut encore nous entraîne dans un monde peu exploité en littérature : le viol de la confidentialité.

 

Je n'avais aucune attentes, je ne connaissais même pas l'auteur et je n'ai pas été déçu! L'idée est excellente, c'est drôle et bien écrit. Je dirais même que c'est rafraichissant; ça fait changement. Ça se voulait peut-être pas drôle, je sais pas, mais je sais que ça m'a fit sourir tout au long des pages. Les personnages sont attachantes chacunes (et chacun) a leurs manières. Bref, une excellente lecture pour toutes les types de lectrices (et lecteur)!

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