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Pourquoi un chirurgien esthétique donnerait-il à des femmes vivantes le visage d'une morte ? Cette question intrigue Kerry McGrath. Dans la salle d'attente du Dr Smith, elle a reconnu à deux reprises, et sur deux patientes différentes, des traits qui lui sont étrangement familiers. Ceux de Suzanne Reardon, une jeune beauté assassinée dix ans plus tôt. Procureur-adjoint à l'époque, Kerry avait contribué à faire condamner le mari de la victime. Aujourd'hui, alors qu'elle est sur le point d'être nommée juge, elle veut faire rouvrir le dossier. Curieusement, personne ne semble y tenir.
Kerry ne se doute pas qu'elle vient de s'engager dans la plus surprenante et la plus périlleuse des enquêtes, mettant en danger sa propre vie, mais aussi celle de sa fillette.
Construit avec la précision d'une mécanique d'horlogerie, le nouveau roman de Mary Higgins Clark est une véritable machine infernale. D'une terrifiante efficacité.

Premier Mary Higgins Clark que je trouve plate ! Il n'y a pas eu le suspense habituel et l'histoire était assez plate. Habituellement, dès la page deux, je suis sur le bout de ma chaise, mais vraiment pas dans celui-ci. La personnage n'a jamais été en danger. Comme d'habitude, sa personnage principale était une avocate. Ses personnages sont habituellement des avocates ou des journalistes. Elle devait trouver que les femmes exerçant ces métiers font de bonnes victimes. Victimes, mais intelligentes. Car toujours, elle met en scène des femmes indépendantes et intelligentes. Ce roman n'a pas fait exception. 

Sans oublier l'histoire de fond qui est toujours une belle histoire d'amour avec un homme qui réussi bien dans la vie et qui a un emploi dans lequel il a du pouvoir.  C'est tellement cliché ! Mais habituellement, ça fonctionne. Ici, c'était juste plate et prévisible. 

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