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Francine Hamel, 54 ans, manque à l’appel. La ville d’Alma se met en branle. Cette étrange disparition en plein cœur du Saguenay est le grain de sable qui semble entraîner les autres. Du village québécois à l’orbite terrestre, quelque chose de presque invisible se tisse et se propage. Avec l’humour grinçant qu’on lui connaît, la romancière ilnu J. D. Kurtness nous propose, dans Bienvenue, Alyson, une fin du monde aux étranges accents de béatitude et de délivrance.

Mon amie Joelle m'avait parlé de ce petit roman il y a quelques mois et j'avais été intriguée. Je me suis donc précipitée au salon du livre de Montréal pour me le procurer, mais la maison d'édition n'y était pas. Quelle déception ! Je l'ai alors commandé en ligne et lorsque j'ai reçu l'enveloppe, j'ai cru m'être fait avoir. Je pouvais la plier dans tous les sens, elle semblait vide. Lorsque je l'ai ouvert, j'ai éclaté de rire. Ce roman est moins épais qu'on passeport. Je me suis achetée une nouvelle. Une toute petite nouvelle, que j'ai lue en une quinzaine de minutes. Je n'ai pas été déçue. C'est une nouvelle de fin du monde qui fait sourire. L'écriture est simple, mais efficace. Je ne peux pas vous le résumer, car en écrire trois mots, c'est déjà trop. Je vous le conseille vivement, car ça sort de l'ordinaire. 

Voici une phrase que j'ai bien aimée. 

Comme tout le monde était trop gêné pour commenter la bonne odeur de ce qu'on considérait comme une scène de crime, on n'en fit pas mention. 

Si vous le lisez, laissez-moi savoir ! 

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